Michel JONASZ

Michel Jonasz est un auteur-compositeur-interprète et acteur français, né le 21 janvier 1947 à Drancy. Il a notamment composé La Boîte de jazz, Joueurs de blues, Les Vacances au bord de la mer. Son titre fétiche sur scène est Super Nana. Il mène en parallèle une carrière d’acteur au cinéma et à la télévision.

 

 

Laurent VOULZY

Lucien Voulzy, dit Laurent Voulzy, est un auteur-compositeur-interprète français né le 18 décembre 1948 dans le 18ᵉ arrondissement de Paris. Sa carrière est notamment marquée par sa collaboration régulière avec Alain Souchon depuis 1974

Stephan EICHER

Stephan Eicher naît, deuxième d’une famille de trois garçons, le , à Münchenbuchsee, en Suisse, près de Berne. Son père est d’origine yéniche tandis que sa mère est alsacienne. Son père, violoniste de jazz à ses heures, donne à Stephan et à ses deux frères le goût de la musique. Stephan passe une enfance un peu solitaire, il est envoyé à l’âge de 11 ans dans un internat privé de l’Oberland bernois, l’École d’Humanité (de). Il apprend là notamment l’anglais, le français et côtoie de multiples cultures : africaine, japonaise, américaine… En 1975, son chemin croise pour la première fois celui d’un hôtel, le Meiringen, dans lequel il travaille comme apprenti. Mais il se rend compte que ce travail ne lui convient pas, pas plus que les multiples autres petits boulots qu’il exercera durant quelque temps pour la Poste suisse, en usine ou dans des bars. À Zurich il suit des cours de vidéo dans une école d’art dont il sort trois ans plus tard artiste diplômé. À 17 ans, il joue dans son premier groupe, The Noise Boys, qui ne survivra que quelques mois. En 1979, un copain lui prête un ordinateur : il compose ses premières musiques.

En 1980, à la suite du mouvement de la jeunesse zurichoise auquel Stephan Eicher participe, il fonde avec son plus jeune frère Martin le groupe Grauzone, orienté électro-industriel. Au départ, Stephan Eicher réalise les Super 8 et les photos projetées lors des concerts du groupe et, par la suite, il y joue du synthétiseur et de la guitare. En parallèle, il enregistre en septembre 1980 son premier album solo sur un dictaphone : Stephan Eicher spielt The Noise Boys. Avec l’album Eisbär, Grauzone connaît un véritable succès. Souhaitant prendre un peu de distance, Stephan Eicher arrête pendant un an la musique et part pour Bologne comme programmateur d’une radio féministe. En 1982, il rencontre le groupe Liliput avec lequel il tourne en France et en Allemagne pendant quelque temps comme guitariste ; Klaudia Schifferle, la bassiste leader de Liliput, peintre et poète également, écrira plus tard des chansons pour lui. Il rencontre Martin Hess, alors manager de Liliput, qui finit par encadrer la carrière solo de Stephan Eicher. Ils se lient d’amitié. En 1984, il participe en France à de nombreux festivals, comme les Transmusicales de Rennes ou Le Printemps de Bourges et donne un concert aux Bains Douches, boîte de nuit parisienne.
Ses chansons Two People in a Room (extraite de I Tell This Night) en 1986 puis Combien de temps (extrait de Silence) en 1988 le rendent très populaire en France, il joue pour la première fois à l’Olympia le 20 mars 1986. Ce succès atteint son apothéose en 1991/1992 avec l’album Engelberg (plus de 600 000 albums vendus en France et plus de 100 000 en Suisse). À cette époque, Stephan Eicher est très sensible au charme des chambres d’hôtels, il y enregistre cet album ainsi que le suivant Carcassonne, qui sort en 1993. Suit une période de voyages et de concerts à travers le monde, périple retracé sur un double album et une cassette vidéo : Non ci badar, guarda e passa, pour se retrouver (1000 vies).

STEREOPHONICS

Le groupe gallois, en tournée après la sortie de son onzième album Kind, a offert une tournée générale de hits à la Rockhal, mardi soir.

Les dernières tournées de Stereophonics ont de quoi faire le bonheur des fans de la première heure. Notamment au Luxembourg, où les Gallois ont fait escale une sixième fois, sur le chemin les menant de la Suisse à l’Allemagne. L’an dernier déjà, lors du passage du groupe britannique à l’Atelier, Kelly Jones et ses musiciens nous avaient fait traverser les époques en puisant dans quasiment tous leurs albums. Mardi soir sur la grande scène de la Rockhal, ils ont appliqué la même recette, en mettant légèrement l’accent sur leur onzième et dernier album, Kind, sorti en fin d’année dernière.

Un opus plus doux et particulièrement empreint de sincérité, dixit le bassiste Richard Jones qui s’était confié en amont du concert, et dont on a eu un aperçu avec les belles balades « Fly Like an Eagle », « Hungover for you » et « Don’t Let the Devil Take Another Day ». À ces titres récents, on peut également citer « Bust This Town », plus accrocheur et dans la veine de ce que le groupe fait depuis des années.

Mais c’est avec le single « C’est la vie » que la soirée a débuté, morceau énergique de l’album Keep the Village Alive (2015). Ce n’était que le premier des hits entonnés par Kelly Jones, qui donne toujours sur scène cette impression de dérouler sa partition sans grandes fioritures, ne laissant qu’une place limitée à l’intéraction avec le public. Mais le chanteur est un peu plus sorti de son rôle cette fois, jouant de l’autodérision lorsqu’il a commencé à jouer les premières notes de « Mr and Mrs Smith » avec la mauvaise guitare, testant plusieurs refrains un peu plus tard ou blaguant au micro avant de se mettre au piano.

De l’ultra-populaire « Maybe Tomorrow », issu de You Gotta Go There to Come Back (2003) et repris a capella par le public, à « Have a Nice Day » (Just Enough Education to Perform, 2001) ou encore « Graffiti on the train » (2012) et le plus récent « I Wanna Get Lost With You » (Keep the Village Alive, 2015), Stereophonics a largement arrosé son public d’un son qui était familier aux trentenaires et quadras de la Rockhal, même si celui-ci a souffert des bourdonnements venant d’un tom de la batterie de Jamie Morrison. Au passage, le batteur a encore une fois fait montre d’une énergie débordante, notamment -et c’est habituel- dans le final de « Mr and Mrs Smith ».

Certes, certains titres cultes du groupe, comme « Not up to you », qui date du tout premier album Word Gets Around il y a près de 23 ans, ne sont plus que rarement joués sur scène aujourd’hui. D’autres résistent à l’épreuve du temps, comme « A Thousand Trees » ou « Hurry Up and Wait » (Performance and Cocktails, 1999). Et puis, il y a quelques titres revisités qui dégagent plein de charme comme « Elevators », joué au ukulélé, un instrument offert à Jones le chanteur par Jones le bassiste, les acolytes de toujours.

Et pour conclure un set bien équilibré d’environ deux heures, quoi de mieux que de revenir à l’album Language. Sex. Violence. Other? (2005), avec l’efficace « Dakota » ?

Elliott MURPHY

ELLIOTTMURPHY
Les habitués des shows d’Elliott Murphy le savent :Olivier Durand, son gratteux ,est un tueur à gages .Outre les solos viruoses qu’il est capable de sortir d’une six-cordes, et qu’il a l’art et la manière de souligner d’arpèges, d’accords et de bien d’autres sonorités, i lest là avant tout- et depuis des siècles pour valoriser le timbre unique de la voix de son patron. Et aussi son songwriting habile, intelligent, délicat. Dans ce mano a mano furieux, tour à tour à l’attaque ou en
retrait, les guitares se transforment en un immense orchestre à quatre mains, portant les chansons hors des zones de confort que peut apporter éventuellement un groupe au grand complet:non pas dans la déconstruction à la Dylan, mais en relifting permanent, pour mieux sortir la quintessence des titres qui ont fait la réputation de l’américain.
 
 
 
Avant April 5th, les chemins de Liovaine et Fred se sont croisés à plusieurs reprises dans différentes formations lorraines rock puis celtiques mais leurs sensibilités musicales devaient les amener à collaborer dans une configuration plus créative.C’est en 2014 que le duo prend corps et commence à inventer leur répertoire indiepop-folk:différents instruments et loops posés sur des fondations guitare-voix développent une musicalité qui oscille autour d’une électrofolk inédit.Ils nous installent dans des ambiances variées et improbables servies par des arrangements efficaces.Chant, voix arrangées, looper et harpe pour Liovaine et guitare, stompbox, looper et choeurs pour Fred. Le groupe a sorti son premier album ’life rush »en 2018 et a été sélectionné dans le dispositif 54 TOUR 2019; il développe de puis un spectacle nourri et se produit sur différentes scènes mais également chez les particuliers dans des configurations variées.

M



Matthieu Chediddit M (également typographié – M –), est un auteur-compositeur-interprètemulti-instrumentiste et guitariste français, né le  à Boulogne-Billancourt. S’il joue principalement de la guitare sur scène, -M- est aussi multi-instrumentiste en studio, où il assure la quasi-totalité des différentes partitions. Depuis 2018, il est l’artiste le plus récompensé aux Victoires de la musique (13 trophées, à égalité avec Alain Bashung)1.