Résultats des négociations Couperin / Elsevier

FLEETWOOD MAC

Le Fleetwood Mac américain a pris naissance en 1975 quand les Californiens Lindsey Buckingham et Stevie Nicks s’y sont joints. Cette édition « classique » s’est fixée aux États-Unis et est devenue une des formations les plus populaires de son temps, un véritable poids lourd de l’industrie du disque, grâce à une musique pop-rock très efficace, parfois qualifiée avec un certain mépris de « rock FM ».
C’est Mick Fleetwood qui le premier fait la rencontre du couple formé par Lindsey Buckingham (guitariste et chanteur) et Stevie Nicks (chanteuse). Séduit par le premier album du couple, Buckingham Nicks (1973), notamment par la chanson Frozen Love, Fleetwood invite Buckingham à rejoindre son groupe qui est alors dans de sérieuses difficultés ; il accepte à contre-cœur la présence de Nicks, que Buckingham lui impose.

Le premier album de cette nouvelle formation, Fleetwood Mac (1975) est un énorme succès, mais sans comparaison avec le raz-de-marée qu’est Rumours en 1977, véritable usine à tubes qui se vend à plus de 40 millions d’exemplaires (plus de 100 millions au total pour le groupe) et consacre Fleetwood Mac comme l’un des plus grands groupes de sa génération.
Les membres du groupe ont reconnu que le tumulte de leurs vies personnelles des années 1975 et 1976 explique en bonne partie la dynamique et la créativité qui allait mener, au lieu de l’éclatement de la formation, à la naissance de Rumours. En effet, en l’espace d’environ un an, pendant l’enregistrement de Rumours, les cinq membres du groupe se sont séparés : Buckingham et Nicks, Christine et John McVie, mariés depuis huit ans, et le batteur Mick Fleetwood et sa femme (cette dernière ne faisant pas partie du groupe).
Après un troisième album beaucoup moins vendeur, le double Tusk (1979), le groupe, sans se dissoudre officiellement, connaît trois ans d’inactivité pendant lesquels Buckingham, Nicks et Fleetwood enregistrent chacun leur premier album solo (Christine McVie fait de même en 1984). Le succès revient en 1982 avec Mirage, suivi cinq ans plus tard de Tango in the Night, dernier album avant le départ de Buckingham.

Bruce SPRINGSTEEN

Bruce Frederick Joseph Springsteen, surnommé The Boss, né le  à Long Branch (New Jersey), est un chanteur et auteur-compositeur américain.

Il est l’un des artistes ayant vendu le plus d’albums aux États-Unis avec plus de 64 millions d’albums écoulés1. Il en a aussi vendu plus de 120 millions à travers le monde2.
Selon le classement établi par le magazine Rolling Stone, il figure à la 36e place parmi les 100 plus grands chanteurs de tous les temps, à la 23e place des plus grands artistes3, et est classé 96e meilleur guitariste de tous les temps4.

Stephan EICHER

Stephan Eicher naît, deuxième d’une famille de trois garçons, le , à Münchenbuchsee, en Suisse, près de Berne. Son père est d’origine yéniche tandis que sa mère est alsacienne. Son père, violoniste de jazz à ses heures, donne à Stephan et à ses deux frères le goût de la musique. Stephan passe une enfance un peu solitaire, il est envoyé à l’âge de 11 ans dans un internat privé de l’Oberland bernois, l’École d’Humanité (de). Il apprend là notamment l’anglais, le français et côtoie de multiples cultures : africaine, japonaise, américaine… En 1975, son chemin croise pour la première fois celui d’un hôtel, le Meiringen, dans lequel il travaille comme apprenti. Mais il se rend compte que ce travail ne lui convient pas, pas plus que les multiples autres petits boulots qu’il exercera durant quelque temps pour la Poste suisse, en usine ou dans des bars. À Zurich il suit des cours de vidéo dans une école d’art dont il sort trois ans plus tard artiste diplômé. À 17 ans, il joue dans son premier groupe, The Noise Boys, qui ne survivra que quelques mois. En 1979, un copain lui prête un ordinateur : il compose ses premières musiques.

En 1980, à la suite du mouvement de la jeunesse zurichoise auquel Stephan Eicher participe, il fonde avec son plus jeune frère Martin le groupe Grauzone, orienté électro-industriel. Au départ, Stephan Eicher réalise les Super 8 et les photos projetées lors des concerts du groupe et, par la suite, il y joue du synthétiseur et de la guitare. En parallèle, il enregistre en septembre 1980 son premier album solo sur un dictaphone : Stephan Eicher spielt The Noise Boys. Avec l’album Eisbär, Grauzone connaît un véritable succès. Souhaitant prendre un peu de distance, Stephan Eicher arrête pendant un an la musique et part pour Bologne comme programmateur d’une radio féministe. En 1982, il rencontre le groupe Liliput avec lequel il tourne en France et en Allemagne pendant quelque temps comme guitariste ; Klaudia Schifferle, la bassiste leader de Liliput, peintre et poète également, écrira plus tard des chansons pour lui. Il rencontre Martin Hess, alors manager de Liliput, qui finit par encadrer la carrière solo de Stephan Eicher. Ils se lient d’amitié. En 1984, il participe en France à de nombreux festivals, comme les Transmusicales de Rennes ou Le Printemps de Bourges et donne un concert aux Bains Douches, boîte de nuit parisienne.
Ses chansons Two People in a Room (extraite de I Tell This Night) en 1986 puis Combien de temps (extrait de Silence) en 1988 le rendent très populaire en France, il joue pour la première fois à l’Olympia le 20 mars 1986. Ce succès atteint son apothéose en 1991/1992 avec l’album Engelberg (plus de 600 000 albums vendus en France et plus de 100 000 en Suisse). À cette époque, Stephan Eicher est très sensible au charme des chambres d’hôtels, il y enregistre cet album ainsi que le suivant Carcassonne, qui sort en 1993. Suit une période de voyages et de concerts à travers le monde, périple retracé sur un double album et une cassette vidéo : Non ci badar, guarda e passa, pour se retrouver (1000 vies).

Elliott MURPHY

Encouragé par sa mère Josephine, Elliott Murphy apprend la guitare à l’âge de douze ans. Avec son époux Elliott Senior, elle lui transmet sa passion de la musique et du spectacle. Elliott Murphy a seize ans lorsque son père décède. Il dédiera plusieurs chansons à ses parents : On Elvis Presley BirthdayTime FliesPneumonia Alley.
Il commence à jouer de la guitare à 12 ans avec son groupe The Rapscallions. Adolescent, il joue dans de petits groupes amateurs de rythm’n blues. Il part ensuite pour l’Europe et y renforce sa formation de musicien en jouant dans les rues de nombreuses villes.
Elliott Murphy enregistre en 1973 chez Polydor son premier album, Aquashow pour lequel il est accompagné par un groupe de folk-rock dont fait partie son frère Matthew Murphy à la basse.
Le disque est suivi de trois albums Lost Generation (1975), Night Lights (1976) et Just a Story From America (1977). Ces albums ne rencontrent toutefois pas le succès escompté auprès du grand public.
Il signe chez New Rose Records en 1985 avec l’album Milwaukee produit par Jerry Harrison du groupe Talking Heads.
De nombreux disques enrichissent sa discographie dans les années 1980 et 1990, dont 12 (1990), où figure la chanson Something like Steve Mc Queen, et Selling The Gold (1995) dans lequel Bruce Springsteen, son vieil ami, l’accompagne, dans les chœurs, sur un titre.
Le public américain semblant peu réceptif à sa musique, Elliott Murphy s’expatrie à Paris en 1989. Il y vit depuis, avec sa femme et son fils. Il est rejoint en 1996 par le guitariste français Olivier Durand (ex Little Bob Story). Elliott Murphy enchaine depuis les albums : Beauregard (1998), String Of Storm (2003) et Coming Home Again (2007).
Elliott Murphy parcourt l’Europe, enchainant un nombre impressionnant de concerts. Il s’est affirmé comme un formidable artiste de scènes sur lesquelles il a l’habitude de se donner sans compter. En témoigne le concert qu’il a donné le 9 juin 2007 au Spirit of 66 à Verviers (Belgique) au cours duquel il a joué pendant 4 heures et 20 minutes sans interruption1.
Posant un regard tendre sur l’aspect erratique de nos existences, il chante nos fêlures intimes. Pour Elliott Murphy, la musique et la littérature (en particulier F. Scott Fitzgerald) sont indispensables car c’est l’art qui nous console, nous élève et nous rend heureux.
Le 29 juin 2013, il participe au concert de Bruce Springsteen and The E-Street Band au Stade de France en interprétant avec son fils et le Boss Born to Run. Et de nouveau le 11 juillet 2016, à l’AccorHotels Arena [archive], toujours avec son fils, toujours sur Born to Run
Il a été nommé Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres ce mercredi 4 novembre 2015.

Ateliers ZOTERO

Depuis plusieurs années, nous avons fait évoluer le renseignement aux usagers en testant diverses formules.

Cette année, nous avons choisi de supprimer le service de renseignement classique, c’est à dire des bibliothécaires de permanence dans un bureau de renseignement entre 10h et 17h. Cette formule est très satisfaisante pour les personnes qui en bénéficient, mais ces personnes sont bien trop rares. En termes de management, nous ne pouvons plus nous permettre de monopoliser du personnel sur des durées aussi longues…

Nous mettons en place, à la rentrée 2012, plusieurs actions :

  • astreinte hebdomadaire ou bi-hebdomadaire par personnel de 9h à 17h
  • interface de renseignement en ligne accessible 24h/24, réponse dans les 48h
  • ateliers de formations thématiques entre 13h et 14h30

Cette formule d’ateliers de formation a été testée en juin dernier de manière très positive. Le thème proposé était la formation à Zotero. Les plages horaires étaient variées pour permettre aux usagers (doctorants, internes en médecine) de venir dans le cadre de leurs disponibilités. Un atelier va accueillir entre 2 et 10 personnes, et toujours des personnes très motivées.

Distrait, moi ? Non, je travaille en multi-tâches !

Etre capable de faire plusieurs choses à la fois, voire même de travailler en multi-tâches : c’est une chose pour laquelle nous ressentons généralement de la fierté. Et au moment où les outils et les environnements numériques sollicitent continuellement notre attention, c’est sans doute une capacité très utile. Pourtant, une infographie proposée par OnlineCollege.orget relayée par Mashable est formelle : la recherche montre que seulement 2% d’entre nous sont réellement capables de travailler en multi-tâches. Pour tous les autres, cela se solde par une baisse de productivité dont nous n’avons parfois même pas conscience. Alors, pouvons-nous vraiment être certains de faire partie du lot ? L’enquête suggère en tout cas que nous confondons le multi-tâches avec de réelles distractions. Et voici quelques uns de ses enseignements : > Des sollicitations numériques omniprésentes… – En moyenne, un employé utilisant un ordinateur au travail est interrompu une fois toutes les 10 minutes – selon une autre étude, cela pourrait m…

Humeur

Pour moi, ce vendredi marque la fin de l’année universitaire 🙂

La mise en place de la Direction de la Documentation et de l’édition (DDE) au sein de l’université de Lorraine est extrêmement chronophage. Je me rends compte que je ne publie pratiquement plus sur ce blog. Beaucoup de ceux qui publiaient sur des blogs ont déplacé leur activité sur les réseaux sociaux….

Tout ce silence, alors que l’activité professionnelle est importante et que les expériences à partager sont nombreuses et multiples.

Rendez-vous en septembre 2012:)

ps : oui, parce qu’en septembre 2004, je viens de me rendre compte que j’avais écrit 10 posts et que les sujets sont toujours d’actualité, non ?