Premier ordinateur temps réel : le Whirlwind créé au MIT par Jay Forrester Ken Olsen et leur équipe. La recherche de la performance de la fiabilité et de la rapidité de réponse dans cet ordinateur ont amené de grands progrès. Cette machine fût aussi le prototype des ordinateurs utilisés pour le réseau informatique de défense Américain SAGE (Semi Automated Ground Environment).
1949 – 1051
Adam
Altair 8800
Micro Instrumentation and Telemetry Systems (MITS)
1975
Sega Master System
1987
Nintendo Entertainment System
Nintendo DS Silver
TI 99/4
Texas Instruments lance le TI 99/4 muni du processeur 16 bits TMS 9940 pour 1500 $. Une version plus évoluée et munie d’un clavier mécanique est sortie en 1982 : le TI 99/4A. La particularité de cette machine était la gestion par le matériel de « sprites » ce qui permettait une animation de petits pavés graphiques reprogrammables avec une fluidité sans égale à l’époque.
1978
DAI
La société Belge INDATA commercialise son micro ordinateur DAI. Une véritable machine multimédia très en avance sur son temps : microprocesseur Intel 8080A à 2 MHz 48 Ko de Ram, graphismes en 336×256 pixels en 16 couleurs, son sur 4 voies stéréo (enveloppe programmable) coprocesseur mathématique optionnel, ports série parallèle, 2 lecteurs de micro cassettes, joysticks analogiques et surtout 6 entrées/sorties digitales/analogiques permettant de piloter des automatismes divers dont un bras robotisé, sans oublier une carte optionnelle d’incrustation d’images vidéo ! Malheureusement tout ceci avait un prix : 15000 Francs, bien trop cher pour assurer le succès de cette machine de rêve.
1977
Atari 520 STF
La première révision du système ST vieux seulement d’une année. Lecteur de disquette interne et système en mémoire ROM il représente un peu ce qu’aurait dû être le 520 ST dès sa sortie. Si le marché de l’informatique de loisirs redémarre en 1986, c’est un peu grâce à lui.
1986
Apple III
Apple commercialise l’Apple III, une évolution de l’Apple II munie d’un microprocesseur 6502A à 2 MHz, de 128 Ko de Ram, d’un lecteur 5″1/4 intégré et d’une carte 80 colonnes. Plutôt orienté vers l’entreprise, des problèmes de fiabilité (il était parfois nécessaire d’appuyer sur les composants pour les remettre en place !) et une compatibilité limitée avec l’Apple II entraineront l’échec de cette machine.
1981