Dans le contexte du mouvement OAI (Open Archive Initiative), le terme « Open » concerne l’architecture technique de ces archives et n’est pas synonyme de gratuité d’accès. Il s’agit de définir des protocoles communs pour permettre une facilité d’utilisation du contenu par un ensemble de services extérieurs. Convergence forte avec le mouvement « Open source » de l’informatique libre. Un logiciel libre, contrairement à une idée commune répandue, ne signifie pas que ce logiciel soit gratuit. Un logiciel est qualifié de « libre » dans la mesure où l’accès à son code-source est libre, ce qui donc n’a rien à voir avec son prix. Chacun peut utiliser, copier, distribuer et modifier librement un logiciel libre. Par ailleurs, les sociétés commerciales peuvent éventuellement en tirer profit en le distribuant. Le logiciel libre s’oppose à la notion de logiciel propriétaire dont l’utilisation, la redistribution et toute modification sont interdites ou exigent une autorisation spécifique. Il faut donc conclure sur une certaine ambiguïté du terme « Archive ouverte », il n’a pas la même signification selon son contexte d’utilisation. Dans les discours dominants, il est plutôt assimilé à des réservoirs d’articles en accès libre, sans barrière économique et juridique, intégrant ou non des protocoles d’interopérabilité.
Parallèlement à sa carrière tennistique, il se tourne dès 1990 vers sa seconde passion : la musique. Sa première chanson, Saga Africa, de l’album Black & What, devient le tube de l’été 1991 celui-ci bénéficiant de la médiatisation de son interprétation lors de la victoire de la France en Coupe Davis après 59 ans d’attente. Noah, fraîchement retraité de sa carrière de joueur l’année précédente, en était alors le capitaine. Vient ensuite l’album Urban Tribu en 1993 avec le succès de Get On Back, puis l’album Zam Zam en 1998. Il multiplie les expériences et les enregistrements mais rencontre pendant longtemps un succès très modeste. Sous l’impulsion de son manager Jean-Pierre Weiller, sa carrière prend un grand tournant en 2000 avec son quatrième album Yannick Noah, écrit par Erick Benzi et Robert Goldman, le succès est au rendez-vous avec le titre Simon Papa Tara.
Sergio Reggiani, dit en français Serge Reggiani, né le à Reggio d’Émilie (Italie)1 et mort le à Boulogne-Billancourt2, est un acteur et un chanteur français d’origine italienne. Venu du théâtre, il tourne au cinéma sous la direction de plusieurs générations de réalisateurs et s’impose comme une figure marquante du cinéma français. Venu tardivement à la chanson (à 42 ans), il est considéré comme l’un des grands interprètes de la chanson française. Exigeant dans le choix des auteurs, il chante aussi bien Baudelaire que Moustaki, ou encore Rimbaud, Dabadie ou Vian. Dans les années 1980, il se découvre une passion tardive pour la peinture, ce qui l’amène, en 1991, à exposer pour la première fois. Durant cette décennie, il publie également deux ouvrages autobiographiques. (Salle Poirel à Nancy en 2003 ?)
Pour des raisons de « look », Ian Stewart est renvoyé de la formation officielle par Andrew Loog Oldham (le premier impresario du groupe) en 1963, mais, indispensable, il continue de travailler avec les Stones comme claviériste, et comme road manager apprécié, jusqu’à son décès en 1985. Keith affirme qu’il fut véritablement le liant du groupe1.
Le nom du groupe vient d’une chanson de Muddy Waters, Rollin’ Stone, choisie par Brian. Le blues a toujours été la source d’inspiration principale des Stones, qui ont été l’un des principaux acteurs du retour de cette musique sur le devant de la scène, à travers le British Blues Boom. Les premiers enregistrements des Rolling Stones sont des reprises de blues et de rhythm and blues américains. Après avoir rencontré le succès au Royaume-Uni, ils deviennent populaires aux États-Unis, durant la « British Invasion » (initiée par les Beatles) du milieu des années 1960. Leur single de 1965, (I Can’t Get No) Satisfaction fait connaître les Stones dans le monde entier.
À partir de 1966 et de l’album Aftermath, les chansons de Jagger et Richards, embellies par les expérimentations instrumentales de Brian Jones, développent une diversité stylistique qui restera présente jusqu’à nos jours. Jones meurt noyé dans sa piscine en juillet 1969, peu de temps après avoir été renvoyé du groupe. Il est remplacé par Mick Taylor qui participe aux tournées et à l’enregistrement de cinq albums studio avant de quitter les Stones en 1974. L’ancien guitariste des Faces, Ronnie Wood, prend alors sa place et la conserve depuis lors. Bill Wyman quitte à son tour le groupe en 1993. Le bassiste Darryl Jones rejoint alors le groupe sans en devenir un membre officiel.
Les Rolling Stones ont publié 22 albums studio au Royaume-Uni (24 aux États-Unis), 32 compilations et 8 albums live (9 aux États-Unis). En 2012, le groupe estime avoir vendu plus de 400 millions d’albums dans le monde. En 1971, Sticky Fingers commence une série de huit albums studio consécutifs qui atteignent la première place des hit-parades, des deux côtés de l’Atlantique. Leur dernier disque original, A Bigger Bang, est sorti en 2005. Ils sont d’ailleurs le deuxième groupe à avoir eu le plus de succès dans le Billboard Hot 100, la référence des ventes de singles aux États-Unis. Les Stones ont été classés no 4 dans la liste des 100 plus grands artistes de tous les temps du magazine Rolling Stone.
Les Rolling Stones sont entrés au Rock and Roll Hall of Fame en 1989, et Mick Jagger a été anobli par la reine d’Angleterre en 2002. Leur image de mauvais garçons rebelles, véhiculée dans les années 1960, est une référence majeure pour les générations de musiciens rock qui les ont suivis. Après plus de cinquante ans de carrière, les Stones, tous septuagénaires, continuent à se produire sur scène et avec succès dans le monde entier, et ne manifestent aucune intention de mettre un terme à l’existence du groupe.
Tout commence dans le début des années 1990 lorsque Kelly Jones (Guitare, chant), Richard Jones (basse), et Stuart Cable (batterie), trois amis d’enfance décident de monter un groupe de rock qu’ils baptisent à leur début Blind Faith ce qui était aussi un nom de groupe d’Eric Clapton. Peu de temps après ils le rebaptisent Tragic Love Company, en s’inspirant des noms de leurs groupes préférés : The Tragically Hip, Mother Love Bone et Bad Company. Plus tard, Stuart Cable inspiré par l’inscription « Stereophonic » qu’il peut lire sur le phonographe de sa grand-mère décide avec l’accord des membres de changer le nom du groupe en The Stereophonics jusqu’à ce qu’en 1996 le groupe prenne le nom définitif de Stereophonics. Selon la légende, les musiciens se seraient rencontrés à un concours annuel de cheese rolling à Cwamaman9.
Originaires du Pays de Galles, ils ont fait leurs débuts dans des pubs de la région en faisant de nombreuses reprises. Ils sont fortement influencés par des groupes tels que AC/DC et Creedence Clearwater Revival. Leur carrière professionnelle commence elle réellement en 1997, lorsque Richard Branson (créateur de Virgin) leur propose de signer un contrat pour le nouveau label qu’il vient de créer, V2 Music.
Word Gets Around et succès (1997–2000)
Intitulé Word Gets Around et sorti en 1997, le tout premier album du trio gallois se popularise grandement, notamment en Grande-Bretagne10. Il comprend riffs de guitares, et un mélange de rock et de poésie, avec des textes romantiques écrits et chantée avec une voix éraillée par Kelly Jones. Ce mélange ne passe pas inaperçu aux yeux du grand public, et le groupe décroche en 1998 un Brit Award dans la catégorie « meilleur espoir britannique » et leur album devient disque de platine en Grande-Bretagne (500 000 ventes).
Deux ans plus tard, en 1999, fort de leur succès les Stereophonics sortent un second opus, Performance and Cocktails. Ce dernier comprend des morceaux tels que The Bartender and the Thief. Leur popularité continue de s’accroître au Royaume-Uni mais aussi dans le reste de l’Europe. Trois pistes de l’album se classent dans le top 10 des charts anglais[réf. souhaitée] et ils obtiennent un double disque de platine.
Succès grand public (2001–2004)
En avril 2001, un nouvel album un peu plus acoustique que les précédents est enregistré. Il s’agit de Just Enough Education to Perform (JEEP). Là encore, les tubes sont au rendez-vous et certaines de leurs musiques, telles que Have A Nice Day et Mr. Writer restent aujourd’hui encore parmi les plus connues du groupe, malgré les critiques des journalistes et des médias sur leur titre Mr. Writer qui, justement, dénonce les comportements de ces derniers.
L’année 2003 marque un tournant pour le groupe qui sort son quatrième album nommé You Gotta Go There to Come Back. Il représente au travers une nouvelle facette des Stereophonics qui nous livrent un album plus mûr que les précédents, tant au niveau des paroles que de la musique. Celles-ci sont plus travaillées et plus approfondies[réf. souhaitée]. Elles se distinguent bien des chansons plus rock des débuts[réf. souhaitée]. Cet album est sans doute[style à revoir], le plus abouti de tous. Il comprend des chansons telles que Maybe Tomorrow. En septembre 2003, le batteur Stuart Cable est renvoyé d’après les rapports, pour son manque de motivation. Il est finalement remplacé par Javier Weyler11. Steve Gorman, des Black Crowes, remplace Cable pendant les concerts et enregistrements live jusqu’à l’arrivée de Weyler. Lors d’un entretien avec le magazine Rip It Up, Kelly Jones, concernant le départ de Cable, admet que la situation était difficile12.
Peu de temps après la fin de cette tournée (décembre 2004), Kelly et Richard décident de recruter un nouveau batteur, et ils choisiront pour ce poste, un Argentin, Javier Weyler, qu’ils avaient déjà eu l’occasion de rencontrer peu de temps auparavant ; selon Kelly Jones, « le groupe était dans ce club rock, tout le monde prenait du bon temps et le proprio nous a invité à une soirée privée dans une maison où des musiciens jouaient sur trois étages. On connaissait déjà Javier de Londres où il travaillait dans un studio de Fulham et a assisté aux démos de l’album You Gotta Go There to Come Back »[réf. nécessaire].
De nouveau à trois, les Stereophonics reviennent à leurs racines musicales, et sortent Language. Sex. Violence. Other? en 2005. Ce dernier leur permet d’accéder au sommet des charts anglais notamment grâce à leur tube Dakota. La tournée mondiale qui suivra la sortie de cet album sera l’occasion pour le groupe d’enregistrer leur premier album live Live from Dakota. Dans le même temps, Kelly Jones termine en mars 2007 un album solo, intitulé Only the Names Have Been Changed. Les pistes du disque portent toutes le prénom d’une fille, d’où le nom de l’album13.
Formé depuis dix ans, en 2006, le groupe décide de sortir à cette occasion un album live, Live from Dakota, ainsi qu’un DVD, Rewind, en avril 2007. Ce dernier retrace leur carrière à travers, un documentaire de près de 100 minutes, des interviews de Ron Wood (The Rolling Stones), Noel Gallagher (Oasis), Bono (U2), Tom Jones, The Black Crowes, plus de deux heures de concert extrait de leurs différentes tournées depuis 1997, et plusieurs vidéos de la tournée acoustique de Kelly Jones (2000), jusque là inédites.
Sorti en octobre 2007, Pull the Pin est le sixième album studio des Stereophonics. L’album est écrit et enregistré en novembre 2006 mais sa sortie sera repoussée à 200714. Le titre vient d’une expression qu’employait souvent Kelly Jones quand il était plus jeune. Pour lui, Pull the Pin avait comme signification « Fais ce que tu veux ». Le premier single issu de ce dernier est Bank Holiday Monday, et le second It Means Nothing. Kelly Jones explique, qu’il a « écrit la chanson dans une chambre d’hôtel en Allemagne. C’était au moment où les attentats du 7 juillet 2005 ont lieu. Ce n’est pas une chanson à propos de ces attentats ; c’est plutôt sur notre façon de réaliser à quel points nos proches nous sont chers dans des moments comme celui-là ». À l’occasion de la sortie de ce nouvel album, un nouveau musicien arrive au sein du groupe. Il s’agit de Adam, le leader du groupe Spider Simpson, qui accompagne désormais la formation en tant que guitariste solo et chœur.
Depuis ses débuts, le groupe réalise la première partie de groupes tels que U2, Lenny Kravitz, David Bowie ou encore les Rolling Stones (en France au stade de France et au Stade Vélodrome de Marseille en juillet 2003) et remplissent des stades entiers tels que le Millenium Stadium de Cardiff (DVD Day at the Race). Enfin, ils jouent le 28 août 2010 lors du festival parisien Rock en Seine15.
Nouveaux albums (depuis 2011)
Kelly Jones en concert avec le groupe, au Nova Rock-Festival 2013.
Le septième album studio du groupe est intitulé Keep Calm and Carry On. Il est publié le . Le choix du nom est fait à partir d’une affiche vue dans le pub The White Horse, à Richmond, où le groupe passe du temps lors de l’enregistrement de l’album. Le premier extrait de l’album est Innocent. Le second single Could You Be the One?, est sorti le 15 février 2010.
Le 24 septembre 2012, le groupe annonce (via le site officiel16) la venue de son nouveau batteur, Jamie Morrison (ex-Noisettes). Le huitième album studio intitulé Graffiti on a Train, est annoncé et publié pour le 4 mars 201317, alors que deux singles (In a Moment et Indian Summer) accompagnés de vidéos associées, sont déjà parus, en plus de Violins and Tambourines, première piste révélée en 2012, non parue en single, mais assortie d’une vidéo, le 8 octobre18. À la fin février 2013, l’album était mis en streaming19.
En mai 2015 sort le 1er single C’est la vie, extrait du 9e album studio Keep the Village Alive20 qui sort finalement en septembre.
Il gagna la reconnaissance des professionnels grâce à ses talents de compositeur, dans la musique pop des années ’70. À l’origine, Moon Martin est un musicien rockabilly. Il a écrit Bad Case of Loving You pour Robert Palmer et Cadillac Walk, pour Willy DeVille. D’autres titres furent des succès internationaux, comme Rolene (#30 Billboard Hot 100), No Chance (#50) en 1979, et surtout Bad News, titre extrait de son album Street Fever, qui le fit connaître du public francophone en 1980.
X-Ray Vision, enregistré en 1982, fut utilisé par MTV lors de ses spots promotionnels.
En plus de ses propres chansons, Jean-Jacques Goldman écrit et compose pour de nombreux autres artistes, parmi lesquels Céline Dion et Johnny Hallyday, mais aussi pour des bandes originales de films et génériques d’émissions télévisées. C’est aussi un artiste qui s’est considérablement engagé auprès d’œuvres humanitaires ou caritatives, notamment les Restos du Cœur, via les Enfoirés dont il est l’un des fondateurs, qu’il a parrainés pendant six ans et dont il reste le membre le plus assidu.
Selon un sondage paru en , il est la personnalité préférée des Français2, classement confirmé par un sondage du JDD en août 2013, et un sondage IFOP de juillet 20143.
Joe Cocker, né John Robert Cocker le à Sheffield (Angleterre) et mort le à Crawford (dans le Colorado, États-Unis), est un chanteur de blues-rockanglais (il est aussi, dans une moindre mesure, acteur et compositeur). Sa voix rauque et ses gestes spasmodiques sur scène, qui resteront toute sa carrière sa marque de fabrique, l’ont rendu célèbre dans le monde entier.