SpringerLink

Après l’accord avec Springer dans le cadre des licences nationales, l’éditeur propose une application gratuite pour iPhone. Cet application est disponible dès maintenant et propose des accès comparables à ceux du portail SpringerLink.

Je rappelle que cette offre couvre les articles de 1000 revues électroniques antérieurs à 1996 (35 000 volumes, 22,3 millions de pages) et plus de 8500 livres électroniques antérieurs à 2004 (2,94 millions de pages) !

Pic2Shop

Pic2Shop est une application pour iPhone permettant de scanner le code-barre d’un ouvrage et de savoir immédiatement où il est disponible à l’achat (c’est un comparateur de prix), mais on peut également savoir quelle bibliothèque le possède (Worldcat oblige). La géolocalisation des bibliothèques est aussi proposée.
J’ai essayé chez moi avec le premier livre qui m’est tombé sous la main, et ça marche…

On a même la possibilité d’avoir plus de renseignement par un lien sur Google Book Search, Wikipedia…

Nos catalogues, pour lesquels on propose des formations à l’utilisation, en prennent un coup supplémentaire…

Réalité augmentée

Pour les addicts du smartphone, ce concept de réalité augmentée commence à être bien connu. Il s’agit simplement de superposer une information virtuelle sur une image/video. Si l’on ramène ce principe à l’environnement des bibliothèques, on imagine immédiatement l’intérêt que l’on pourrait y voir.

Première application : localiser et identifier simplement la bibliothèque. Comme le signale un post récent du blog iPhon.fr, cela est très bien réalisé dans la dernière application proposée par le ministère de la Culture.

Rêvons un peu, et imaginons ce même principe applicable à l’intérieur de la bibliothèque, afin d’identifier les espaces, les services et les collections. Disons que l’on a un peu de travail pour quelques années…

Stanza

Les commentaires de Nicomo dans le post précédent, m’ont incité à présenter une application e-reader de l’iIphone : Stanza.

Stanza est une application gratuite qui permet d’accéder à des contenus libres ou payants. L’offre est déjà conséquente, mais principalement anglo-saxonne. L’accès aux ressources est d’une simplicité enfantine, il suffit de sélectionner son fournisseur, puis le thème, la langue et enfin le titre. L’application propose alors de télécharger le titre. La navigation est hyper simple puisque le feuilletage s’effectue en touchant la partie gauche ou droite de l’écran, la partie centrale étant réservée à la mise en oeuvre de touches de contrôle permettant de mettre des repères, des notes ou de grossir le texte.

J’ai lu récemment un article expliquant qu’un établissement scolaire aux Etats Unis propose un accès à un fournisseur pour livres scolaires au travers d’une application analogue, le cartable des élèves se résume donc à un Iphone, sachant qu’ils disposent d’une bibliothèque en ligne complète (les contenus !). A méditer…

e-reader, et dans 5 ans ?

Je reste persuadé qu’il est plus pertinent pour les bibliothécaires de travailler sur l’offre de contenus que sur les lecteurs de contenu. Sachant que l’offre sera utilisée sur les tablettes/smartphones… que l’utilisateur choisira d’utiliser. On sent bien actuellement la tendance de disposer d’un outil multitâches comme le smartphone qui est à la fois téléphone, GPS, lecteur de sons, lecteurs de videos, consoles de jeux, etc…

Pour le fun, voici une partie de l’offre actuelle, qu’en restera-t-il ?

Un ebook reader solaire chez LG

Cybook Gen 3

Tablet PC Ubuntu

Iliad

Kindle

Sony PRS 500

Un e-reader flexible chez Bridgestone

enTourage eDGe

ebook reader Nook de Barnes & Noble

Alex de Spring Design

EZ Reader Pocket PRO de chez Astak

Kindle DX de chez Amazon

Papyrus chez Samsung

PocketBook 360° chez PocketBook

FLEPia chez Fujitsu