e-reader, et dans 5 ans ?

Je reste persuadé qu’il est plus pertinent pour les bibliothécaires de travailler sur l’offre de contenus que sur les lecteurs de contenu. Sachant que l’offre sera utilisée sur les tablettes/smartphones… que l’utilisateur choisira d’utiliser. On sent bien actuellement la tendance de disposer d’un outil multitâches comme le smartphone qui est à la fois téléphone, GPS, lecteur de sons, lecteurs de videos, consoles de jeux, etc…

Pour le fun, voici une partie de l’offre actuelle, qu’en restera-t-il ?

Un ebook reader solaire chez LG

Cybook Gen 3

Tablet PC Ubuntu

Iliad

Kindle

Sony PRS 500

Un e-reader flexible chez Bridgestone

enTourage eDGe

ebook reader Nook de Barnes & Noble

Alex de Spring Design

EZ Reader Pocket PRO de chez Astak

Kindle DX de chez Amazon

Papyrus chez Samsung

PocketBook 360° chez PocketBook

FLEPia chez Fujitsu

7 réponses sur “e-reader, et dans 5 ans ?”

  1. entièrement d’accord, n’en déplaise à l’ami Bourrion.
    Et on pourrait ajouter les téléphones, avec Stanza pour iPhone et Abliko pour Android. Je viens de lire 30mn, dans le bus, un livre sur Android, et c’est *tout à fait* acceptable.
    Ca ne veut pas dire que les ereaders dédiés n’ont pas lieu d’être, mais a/ ce sera sans doute une niche, et b/ je mettrais pas, en tant que bib, mes billes là-dedans.

  2. Effectivement, je viens de tester avec Stanza, c’est très acceptable et de plus l’offre d’ebooks gratuits est non négligeable

  3. Mais je suis d’accord avec vous ! Le plus important c’est bien l’offre, pas l’outil lecteur (de toutes les manières, il y a de fortes chances pour que ce ne soit ni un livrel, ni un GSM tel que nous les connaissons actuellement). nicomo pense que les GSM gagneront la « bataille », j’ai tendance à penser de plus en plus que ce sera plutôt quelque chose du type livrel pliable multifonctions (quelque chose d’un peu plus grand qu’un iphone et qu’on peut dérouler pour y faire aussi par exemple de la visiophonie), mais ce sera certainement un truc entre les deux ou un truc pas encore pensable.
    Bref, peu importe, ne nous focalisons pas sur un outil en particulier, mais sur une offre et des manières de la proposer quel que soit le support. Et là, ben on est assez dans les choux…

    PS : oui, ma position évolue, mais c’est aussi à ça que sert l’expérience menée à Angers sur les livrels ; et par ailleurs, il n’est pas question de mettre toutes ses billes dans le même panier 😉

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