Dans la dernière publication de l’ORS, il semble qu’une réorganisation de la recherche en France soit en marche. On annonce la transformation des départements scientifiques de l’Inserm et du CNRS en instituts. Va-t-on poursuivre avec la mise en place d’un opérateur unique de l’IST en France regroupant Abes, Couperin et Inist ? Je m’inscris au comité de soutien de cette proposition !
RSS et sites Web SCD
Les sites Web de SCD proposent-ils à leurs usagers un abonnement RSS aux nouveautés de leur page d’accueil ? yes or no ?
AIX-MARSEILLE 1
AIX-MARSEILLE 2
AIX-MARSEILLE 3
ALBI (CUFR CHAMPOLLION)
AMIENS
ANGERS *
ANTILLES GUYANE
ARTOIS
AVIGNON
BELFORT MONTBÉLIARD
BESANÇON *
BORDEAUX 1
BORDEAUX 2
BORDEAUX 3
BORDEAUX 4
BORDEAUX SICOD
BREST
BRETAGNE-SUD
CAEN
CHAMBÉRY
CLERMONT-FERRAND
COMPIÈGNE
CORTE
DIJON
GRENOBLE 1 – INPG
GRENOBLE 2 et 3
LA RÉUNION
LA ROCHELLE
LE HAVRE
LE MANS
LILLE 1
LILLE 2
LILLE 3
LIMOGES
LITTORAL
LYON 1
LYON 2
LYON 3 *
LYON LSH *
LYON INSA *
METZ
MONTPELLIER
MULHOUSE
NANCY 1
NANCY 2
NANCY INPL
NANTES *
NICE
NIMES
NOUVELLE-CALÉDONIE
ORLÉANS *
PAU
PERPIGNAN
POITIERS
POLYNÉSIE FRANÇAISE
REIMS
RENNES 1
RENNES 2
RENNES INSA
ROUEN
ROUEN INSA
SAINT-ÉTIENNE
STRASBOURG SICD
STRASBOURG BNU
STRASBOURG INSA
TOULON
TOULOUSE 1
TOULOUSE 2
TOULOUSE 3
TOULOUSE INP
TOULOUSE SICD
TOULOUSE INSA
TOURS *
TROYES
VALENCIENNES
PARIS 1
PARIS 2
PARIS 3
PARIS 4
PARIS 5
PARIS 6
PARIS 7
PARIS 8
PARIS 9
PARIS 10
PARIS 11
PARIS 12 *
PARIS 13
MARNE-LA-VALLÉE
ÉVRY VAL-D’ESSONNE
CERGY-PONTOISE
VERSAILLES-ST-QUENTIN
SORBONNE
CUJAS
STE GENEVIÈVE
STE BARBE
BIU LANGUES ORIENTALES
BIU MEDECINE
BIU PHARMACIE
BIU JUSSIEU *
BDIC
BULAC
ACAD. NAT. DE MÉDECINE
BYZANTINE
COLLÈGE DE FRANCE
CNAM
ÉCOLE NATIONALE DES CHARTES
ENSSIB
ENS Cachan
ENS LYON LETTRES
ENS Lyon Sciences
ENS ULM ET SEVRES
EPHE
FNSP
INSTITUT DE FRANCE
INHA
INRP
LITTÉRAIRE J. DOUCET
MSH
MAZARINE
MUSÉE DE L’HOMME
MUSÉUM D’HISTOIRE NATURELLE
OBSERVATOIRE
AIX-MARSEILLE IUFM
AMIENS IUFM
BESANÇON IUFM
BORDEAUX IUFM
CAEN IUFM
CLERMONT-FERRAND IUFM
CORSE IUFM
CRÉTEIL IUFM
DIJON IUFM
GRENOBLE IUFM
GUADELOUPE IUFM
GUYANE IUFM
LILLE IUFM
LIMOGES IUFM
LYON IUFM
MARTINIQUE IUFM
MONTPELLIER IUFM
NANCY-METZ IUFM
NANTES IUFM
NICE IUFM
ORLÉANS-TOURS IUFM
PACIFIQUE IUFM
PARIS IUFM
POITIERS IUFM
REIMS IUFM
RENNES IUFM
LA RÉUNION IUFM
ROUEN IUFM
STRASBOURG IUFM
TOULOUSE IUFM
VERSAILLES IUFM
Ma première observation concerne la recherche du site Web de la bibliothèque de son université sur Google, tout comme un étudiant peut être amené à le faire. Il s’avère que nombre de SCD ne sont pas repérables par une recherche évidente du type « SCD Nom de la ville », il faut soit rechercher à « BU » soit à « bibliothèque ». Clairement, certains sites sont mal référencés et manquent de visibilité. Dans ce même ordre d’idée, il serait intéressant de regarder sur les sites des universités si les SCD sont visibles de prime abord ou non. Un rapide survol de cette question montre qu’il faut souvent aller dans les rubriques « vie étudiante » ou « présentation » pour atteindre les informations concernant le SCD (révélateur de l’importance accordée par l’université à son SCD !).
Je vous laisse le soin de suivre les liens pour observer l’indigence de certains sites…Je ne peux résister à l’envie de citer les sites de l’ENS Cachan et de Paris 3 qui n’affichent pas les caractères accentués dans Firefox et je regrette profondément que le site renouvelé de l’ENSSIB ne propose toujours pas de RSS.
Il faut saluer les 18 SCD sur les 154 pris en compte dans cette étude, qui proposent cette fonctionnalité souvent associée à une présentation claire des services et des collections. J’ai indiqué les sites les plus fonctionnels (selon mon avis d’utilisateur) et les plus ergonomiques par une astérisque. D’un autre côté, cette proportion est tellement faible que l’on pourrait imaginer que dans les subventions de « réinformatisation » il y ait une exigence minimale sur les résultats obtenus…
Certains sites n’ont pas de liens car ils étaient soit inaccessibles (cas particulier du pacifique, de la Polynésie…) soit introuvables rapidement.
Je me suis contenté de mesurer la présence ou non d’une fonctionnalité que l’on retrouve couramment sur les sites ou blogs professionnels, sur les sites documentaires, sur les sites de librairies en ligne… On pourrait également s’intéresser à l’ensemble des fonctionnalités recommandées ou fortement conseillées, ainsi qu’aux possibilités et à l’ergonomie des outils de recherche.
N’hésitez pas à compléter ou rectifier les informations erronées !
Classement 2007 des 200 meilleures universités du monde !
Le THES (Times Higher Education Supplement) World University Rankings est paru vendredi 12 novembre 2007 !
Qu’en est-il des universités françaises ?
26 – ENS Paris, en baisse car 18ème en 2006
28 – Ecole polytechnique, en hausse car 37ème en 2006
132 – Université Pierre et Marie Curie Paris VI, en baisse car 93ème en 2006
157 – ENS Lyon, en forte baisse car 72ème en 2006
184 – Université Louis Pasteur Strasbourg I, en baisse car 161ème en 2006
Il n’y a toujours que 5 universités françaises classées, mais plus grave, elles baissent pour la plupart dans le classement au plan international… Pas de nouvelle entrée…
La Belgique classe 5 universités dans le top 200 (Leuven, Louvain, Gand, Bruxelles, Anvers), l’Allemagne classe 11 universités, la Suisse classe 5 universités (Zurich-2, Genève, Bâle, Lausanne), les Pays-bas classent 11 universités…
Les costauds :
Royaume-Uni 32 universités classées dont les 2,3 et 5 !
USA 57 universités classées dont la 1ère Harvard !!!!
Les universités françaises manquent-elles de visibilité sur le Net ?
La dépêche du GFII : Les universités françaises
Les universités françaises manquent-elles de visibilité sur le Net ?
L’information :
Un article d’Isidro Aguillo paru dans la livraison d’octobre/novembre de la revue britannique Research Information rend compte de travaux de métrique du web menés au Cybermetrics Lab, une unité du Centro de Información y Documentación Científica (CINDOC), homologue espagnol de l’INIST. Ce laboratoire publie depuis 2004 un classement (Webometrics ranking of World Universities, www.webometrics.info ; dernière mise à jour : juillet 2007) des universités et organismes de recherche. A la différence des classements du type “classement de Shanghai” qui visent à mesurer les performances des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, le classement proposé par le CINDOC vise à mesurer au travers d’un indicateur simple la “visibilité” des universités et des organismes de recherche sur le Net.
Sur la base d’un échantillon initial de 13 000 universités et de 4 500 organismes de recherche au plan mondial, le CINDOC classe par rang décroissant 4000 universités ou établissements d’enseignement supérieur et 1000 organismes de recherche. Ce classement mondial est ensuite ventilé en différents sous classements. Si l’on accepte les prémices méthodologiques qui fondent cet indicateur et si l’on s’intéresse à la position des institutions françaises, on aboutit à un double constat : les grands établissements publics scientifiques et de recherche français obtiennent des performances très honorables en matière de “visibilité” sur le Net, par contre les Universités françaises affichent pour ce même indicateur de très mauvais indices. Seule,l’Université Claude Bernard de Lyon 1 et l’Ecole Normale Supérieure de Paris apparaissent dans le “top 100″ européen (respectivement au 68ème rang et au 100ème) du classement des universités européennes, au même niveau que l’Italie (deux établissements classés) mais loin derrière l’Allemagne (31 universités au sein du top 100 européen), les pays scandinaves, (17 universités classées), la Grande Bretagne (15 universités classées), les Pays Bas (8 universités classées) et même l’Espagne et la Suisse (avec chacune 5 universités classées).
L’analyse de la Dépêche :
Comme les classements publiés sur les sujets les plus divers par la presse, ou, dans un domaine voisin, le “classement de Shanghai” des établissements de recherche et d’enseignement supérieur, le “Webometrics ranking of World Universities” publié par le CINDOC espagnol n’est pas sans comporter une part d’ “affichage” qui demande à être évaluée. Les données brutes de ce classement stimulent cependant une réflexion utile à la fois sur la notion de visibilité des institutions d’enseignement supérieur et de recherche sur le Net, mais aussi sur les apports essentiels que recèle un approfondissement des “métriques” du Web.Le mérite de l’indicateur construit par le CINDOC tient à sa simplicité et à sa robustesse : cet indicateur baptisé WR (pour World Ranking) tient compte de 4 facteurs. Le facteur S (pour “size”) mesure pour le site Web d’une institution donnée (organisme de recherche ou établissement d’enseignement supérieur) le nombre de pages uniques référencées sur quatre moteurs de recherche : Google, Yahoo ! MSN Live Search et Exalead). Le facteur V (pour “visibility”) mesure (à partir des données fournies par les mêmes 4 moteurs de recherche) le nombre de liens entrants vers les sites de ces institutions. Le facteur R (pour “riche files”) est plus qualitatif : il mesure à partir des données Google la diversité des formats de fichiers proposés sur ces sites (Adobe Acrobat, Adobe Postcript, MS Word, MS Powerpoint). Enfin le facteur Sc (Pour Scholar) mesure plus spécifiquement et pour ces mêmes sites le nombre de références d’articles le nombre d’articles ou de rapports issus de ces sites et référencés par Google Scholar (ce facteur mesure donc ce qui au sein de ces sites Web institutionnels relève d’une logique de communication scientifique). L’indicateur WR est alors calculé en attribuant un facteur de pondération de 50 % au facteur V, de 25% pour le facteur S et de 12,5% pour les facteurs R et Sc, équilibrant ainsi dans l’indicateur composite le facteur de visibilité d’une part et les facteurs plus descriptifs de la taille et de la composition qualitative des sites webs analysés.Si l’on s’intéresse au seul classement Top 100 européen des universités et établissements de recherche, l’indicateur WR illustre une véritable “fracture numérique” entre schématiquement l’Europe du Nord (Allemagne, Grande Bretagne, Pays scandinaves, Pays-Bas) et l’Europe latine (y compris la France) avec des écarts importants de l’indice entre le premier groupe de pays et le second. Le classement des établissements de recherche (top 100 mondial) dessine une toute autre carte : la France obtient ici des performances très honorables. Elles placent 12 de ces grands établissements de recherche français au sein de ce Top 100, ne le cédant qu’aux Etats-Unis (qui enregistre 42 agences ou établissements de recherche non universitaires dans ce Top 100). Ces résultats très contrastés en ce qui concernent la France tendent à valider la pertinence de l’indicateur WR. On retrouve en effet dans les classements qu’il sous-tend le reflet direct d’un double constat souvent fait ailleurs : le rôle particulièrement important en France des grands établissements de recherche publics d’une part ; d’autre part le poids insuffisant des universités françaises sur la scène internationale dans leur périmètre actuel. La pauvreté des sites Web des établissements d’enseignement supérieur français que semble détecter l’indicateur WR rejoint nombre d’autres constats sur la situation préoccupante de ces établissements dans le cadre de comparaisons internationales.
Un autre constat plus général peut être formulé sur la base des travaux publiés par l’institut espagnol : l’importance des développements en matière de “métrique du Web”. Si la réduction de ces métriques à de simples problématiques de classement est sans doute discutable, il n’en est pas moins vrai que tout ce qui touche à ces nouvelles métriques du Web comporte des enjeux stratégiques importants. C’est vrai dans le domaine des usages marketing de ces métriques : les grands instituts de mesure d’audience des sites Internet (Nielsen Netratings, Comscore) ont entrepris d’investir lourdement sur la R&D autour de ces métriques pour affiner leurs outils. Mais les travaux du CINDOC pointent aussi le fait qu’un approfondissement de certaines facettes des métriques du Web est nécessaire dans le cadre d’une approche comparative internationale des performances des systèmes nationaux d’enseignement supérieur et de recherche.
Indexation : universités, recherche, métriques du Web
JC | Blog
JC | Blog change d’objectif et de look…
Après plusieurs mois passés à collecter de l’information sur « l’Open source » et « l’Informatique Documentaire », à expliciter certaines démarches et outils, je me suis rendu compte que nombre de blogs professionnels sont désormais bien ancrés dans ces thèmatiques. Ces commentaires sur l’actualité professionnelle sont intéressants mais pas assez pragmatiques à mon goût… D’où l »idée de proposer une version plus réaliste de l’activité professionnelle, des problèmes à résoudre, des solutions à mettre en place, des difficultés rencontrées et des enjeux au quotidien. C’est un pari que je tente que de pouvoir tenir une sorte de journal de bord de mes activités professionnelles, dans le cadre de mon SCD et de mon université. Il est clair que les propos tenus sur JC | Blog n’engagent que son auteur. Tout celà n’a de sens que dans le contexte institutionnel particulier.
Archive de JC | Blog à: http://jhoupier.free.fr
Revues électroniques et bases de données en bibliothèques
Aspects techniques : la mise à disposition des ressources électroniques sur le site web de la bibliothèque ; l’interface avec le SIGB ; la mise en place d’un portail