Un article que m’a transmis une collègue …
Les métadonnées sociales sont souvent des informations ajoutées par les usagers. Il peut s’agir de simples tags, d’images, de liens mais cela peut aller jusqu’à la mise en place de contenus élaborés (blogs). L’objectif est de permettre d’améliorer la compréhension et l’évaluation de l’information primaire.
L’intérêt de savoir gérer ce type d’apport est important pour les bibliothèques, principalement dans le cadre de la dissémination des services dans les réseaux sociaux.Il semble que ce point devra être considéré attentivement lors de la mise en place ou le renouvellement d’outils, d’interfaces, d’Opacs par les bibliothèques.
Jean-Charles,
Si ça marche pour des fonds photos par exemple, j’ai du mal à croire à un vrai développement des métadonnées sociales pour les catalogues. A part quelques passionnés, qui va s’amuser à mettre des tags sur des notices, si ce n’est éventuellement pour l’aider dans un travail en cours ? Le peu d’échange sur les blogs via les commentaires semble le confirmer et ne m’a pas surpris.
Je crois beaucoup plus aux outils de recommandation basés sur les usages dont parle souvent le Bibliobsédé. Ce que fait Amazon est très fort, à proposer des articles déjà consultés, des articles achetés par ceux qui ont acheté celui qu’on consulte, des pages d’articles visitées après celui à l’écran, etc… Tous services qu’on pourrait imaginer transposer sur un OPAC, en remplaçant acheté par emprunté
Tu as raison JC, je me suis un peu fourvoyé :). J’avais en tête d’impliquer les enseignants dans le système afin qu’ils jouent leur rôle de prescripteur, mais c’est peut être illusoire et peu réaliste.
Moi aussi, Jean-Charles, je pense qu’il serait bon que la prescription des enseignants apparaisse dans nos catalogues. Mais comme je suis un peu échaudée, j’envisageais l’emploi de « score », càd l’appréciation par nombre d’étoiles. Cela permettrait au moins de faire ressortir une liste des plus gros scores…