Dans une première phase, le groupe préféra privilégier le spectacle scénique global avec des projections d’images et de ce qui deviendront des clips, plutôt que de mettre en avant tel ou tel musicien. Des danseuses furent ajoutées en avant-scène et Del Dettmar jouait souvent derrière les rideaux de la scène à l’abri des regards du public, pendant que deux batteurs (à partir de 1974) scandaient les hymnes répétitifs. Cette époque reste
la plus originale[non neutre] avec des disques
cultes[non neutre] comme
Doremi fasol latido,
In search of space et le live
Space ritual qui restent des œuvres majeures de l’histoire de la musique contemporaine.
[réf. nécessaire] À cette époque, la musique, les paroles et le spectacle scénique étaient ceux de guerriers célestes, combattant contre ou avec les forces primitives de l’univers, pionniers du mouvement des « travellers » (et de l’imagerie des films de la
Guerre des étoiles) et succédant définitivement à celui des beatniks et autres clochards célestes.
Cette période culmina avec l’intervention de l’écrivain britannique de science-fiction et d’heroic fantasy Michael Moorcock qui déclamait poésies et incantations sur scène. Il figure notamment sur le disque Warrior on the edge of time et il est visible, sur scène, en 1985 sur la vidéo et le DVD de la tournée Chronicle of the black sword inspirée de son cycle d’Elric.Dans une première phase, le groupe préféra privilégier le spectacle scénique global avec des projections d’images et de ce qui deviendront des clips, plutôt que de mettre en avant tel ou tel musicien. Des danseuses furent ajoutées en avant-scène et Del Dettmar jouait souvent derrière les rideaux de la scène à l’abri des regards du public, pendant que deux batteurs (à partir de 1974) scandaient les hymnes répétitifs. Cette époque reste la plus originale[non neutre] avec des disques cultes[non neutre] comme Doremi fasol latido, In search of space et le live Space ritual qui restent des œuvres majeures de l’histoire de la musique contemporaine.[réf. nécessaire] À cette époque, la musique, les paroles et le spectacle scénique étaient ceux de guerriers célestes, combattant contre ou avec les forces primitives de l’univers, pionniers du mouvement des « travellers » (et de l’imagerie des films de la Guerre des étoiles) et succédant définitivement à celui des beatniks et autres clochards célestes.
Le Sud-africain Robert Calvert apporta la première personnalisation et mise en avant d’un membre du groupe. Il se déguisait sur scène, adoptant un jeu théâtral, un peu à l’image de
Peter Gabriel avec
Genesis. La musique s’en ressentit avec le disque
Quark strangeness and charm. Les guerriers célestes devinrent des marabouts des années quatre-vingt, évoquant des histoires de
cryogénisation des corps ou reprenant le personnage d’hell’s angel post guerre atomique qu’est Hell Tanner du livre de
Roger Zelazny « Damnation alley way », sans oublier la recherche des particules comme les quarks et les charmes.
Après la mort de Robert Calvert, le groupe, réduit à Dave Brock aborda l’écologie et les indiens (
Electric teepee) mais continua à reprendre des thématiques liées à la science-fiction et aux extra-terrestres (
Alien 4, Area 54).
Magma est un groupe musical fondé en 1969 à Paris en France par le compositeur-batteur-chanteur Christian Vander. Cette formation est à l’origine du genre musical baptisé Zeuhl, mélangeant rock, jazz, avant-garde et chant choral.
Robert Wood, Après avoir formé un groupe de jazz progressif à l’Université d’Oxford fin des années 60, Robert Wood passe plus de vingt ans en France avant d’aller vivre à Brême en Allemagne. Il joue du jazz avec son propre trio, et puis quartet, comprenant Steve Potts, Ron Pittner et Kent Carter, avant d’évoluer vers le rock progressif et la transe dite “psychédélique”, avec les groupes tels Beliaev, Woodlands, Vibrarock, Lard Free.
(Vu à Metz au Palais des Sports)